Tuesday, January 15, 2013

Le problème fondamental de la franc-maçonnerie en politique...



Le problème fondamental de la franc-maçonnerie en politique...
 
C'est qu'en définitive, elle ne saurait ni constituer par ce qu'elle représente le moindre apport authentique d'énergie spirituelle à une nation sous sa coupe, ni non plus tolérer qu'autrui le fasse.
Elle ne peut donc que poser une chappe de plomb sur toutes ses forces vives et l'accompagner dans un lent et inexorable déclin jusqu'à son extinction finale; du moins, si on lui en donne l'opportunité.

En ce sens, elle se comporte comme une de ces espèces parasites opportunistes qui en viennent à contrôler le système nerveux d'un hôte infesté.

En France, pays dont elle s'est emparée par l'usage arbitraire de la force (ce qu'elle reprochait à ses adversaires), à ce qui ressembla à s'y méprendre à un recours en masse aux sacrifices humains, la franc-maçonnerie aura accompagné un long déclin du rayonnement du pays, et sa politique de colonisation, toujours active aujourd'hui, visant à assurer le rayonnement de ses intérêts maffieux et de ses "valeurs" à l'étranger, triste
substitut au rabais de ses guerres de conquête révolutionnaires, ne saurait rien y changer.


Certaines raisons permettent d'expliquer cet état de fait. Serait-ce... la nature fondamentalement égoïste et égocentrique
de sa philosophie politique (le fameux "tout pour les "frères")? Son obsession pour la dissimulation de son importance véritable et de ses mécanismes d'action, phénomène qui, de par ses proportions, frise l'adoration de Satan, célèbre dieu du mensonge? Ou bien sa lutte sans merci (c'est-à-dire sans miséricorde - sans mesure ni compassion) contre toutes les
formes de spiritualité vivante, qu'elle tente de déguiser en laïcité? Son goût pour la pensée unique, si apparent dans
ces faux débats permanents occupant tout l'espace, organisés entre les tendances politiques qu'elle instrumentalise? Car
cette secte totalitaire n'aime point la concurrence.


Qui fut le dernier dirigeant non maçon de la France? Ce fut un certain Charles de Gaulle. Si l'on sourit aujourd'hui parce du fait que certaines formes de son expression ont pu parfois vieillir, il n'en reste pas moins que quand il en a eu l'occasion, il a su insuffler un sacré élan à un pays pourtant moribond...



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