L’effondrement de l’Occident qui se profile sous les coups de boutoir islamiques et économiques se démontre imparable....

L’effondrement de l’Occident qui se profile sous les coups de boutoir islamiques et économiques se démontre imparable....


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J’ ai eu l’ occasion de rencontrer certains de nos tènors de la Veme rèpublique, leur souci ètait clairement ènoncé soit le rayonnment de nos industries militaires , petrolifères, le BTP , les telecommunications, les gros contrats saupoudrès d’ enveloppes.La grande strategie ils la laissaient aux americains, quitte bien sur a les critiquer pour leur soutien » aveugle » a » l’ aventurisme » d’Israel .Donc la France dans sa tradition » èpicière » poursuit son petit bonhomme de chemin.Ce qui a changè depuis la crise de 2008 c’ est l’ alignement des USA sur la conduite des » boutiquiers » français.Les USA soit doublent les europeens et s’ emparent du » marché » irakien, soit » cooperent » comme en Lybie. On sait pourtant qu’ à trafiquer avec les islamistes ( cas de l’ afghanistan ) on reçoit comme un boomerang Bin Laden, mais dèsormais peu importe , il faut vendre , et à tout prix, y compris par l’abandon des droits de l'homme et des Chretiens d'orient en un clin d'oueil.... Epoque peu rèjouissante…

Vous ne voyez pas quel est l’ interet de la France a soutenir les islamistes ? C’ est pourtant très simple : Etre du cotè du manche plutot que du cotè de la cognèe. En langage simple cela s’ appelle de l’ opportunisme , suivre le vent, le penchant .Vous oubliez que la France s’ est toujours accomodè des dictateurs arabes Saddam Hussein, Khadafi, Assad père et fils.La France a pris la guerre en Irak avec retard , a vu perdre son grand marchè irakien, les nombreux avantages que ses entreprises et ses diplomates en ont tirè ( affaire Pasqua affaire Boidevaix petrole contre nourriture ) En Syrie comme en Lybie la France essaye de prendre l’ avantage sur la concurrence des USA ou de l’Italie. Tant pis si cela se retourne un peu plus tard contre la France, elle aura grapillè quelques menus avantages commerciaux, elle essaiera de remplacer la Russie qui reste encore le seul grand protecteur de Assad.Car au fond qu’importe le visage de ce règime , ce qu’il faut c’ est commercer y compris avec le diable islamiste, et tant pis pour les opposants syriens libèraux , inorganisès, appeurès, pusillanimes.Vous adressez vous-meme un satisfecit aux freres musulmans, alors ne vous etonnez pas du choix de Juppè-Sarkozy; Si les liberaux syriens prenaient le pouvoir la France serait tout aussi heureuse de traiter avec eux , mais voilà ce sont les islamistes, alors la France n’ ayant pas le choix , suit le plus fort des opposants. Ceci dit vous donnez comme sur le dèpart d’ Assad, moi je pense qu’il va s’ accrocher encore des mois et que la Russie fera tout pour sauver son unique base navale en mediterannèe.

Le monde s’est transformé sous nos yeux, en un clin d’oeil. L’effondrement de l’Occident qui se profile sous les coups de boutoir islamiques et économiques se démontre imparable. Il s’agit d’un nouveau Déluge qui va emporter l’humanité corrompue et aveugle. Le Noé d’aujourd’hui dans son arche entouré des flots islamistes est raillé et vilipandé par cet Occident qui va bientôt être submergé par ces mêmes flots. L’année 2012 sera l’année de tous les dangers. Peut être n’y a t’il déjà plus rien a faire. Vous avez dit Armageddon des ZIOCONNED criminels corrompus, télé-guidés par une fuite en avant....??

Logique (in)volontaire de l'inflation sécuritaire paranoïaque de l'exécutif étasunien....

Chacun peut trouver de nombreux motifs d'inquiétude en constatant que l'administration Obama semble ne vouloir faire face que par un délire sécuritaire aux différents problèmes internes gravissimes créés et amplifiés par les politiques des administrations successives: guerres permanentes d'une légitimité plus que douteuse, déficit abyssal de l'état fédéral et des collectivités, explosion du chômage résultant d'une logique de délocalisation poussée à l'extrême, vol des contribuables organisé par le gouvernement pour enrichir et s'enrichir de ses amis banksters, implosion de la bulle financière, crise de l'immobilier, poursuite du développement de la criminalité organisée, montée en flèche de la répression policière...

Face à tout cela, nous assistons à la mise en place accélérée d'un arsenal répressif digne des régimes dictatoriaux les plus extrêmes: suppression des libertés fondamentales théoriquement garanties par leur constitution, surveillance généralisée de la population, criminalisation de la dissidence chez le citoyen ordinaire, légalisation des assassinats par l'exécutif, mise en place d'un appareil répressif extra-judiciaire militaire, de camps de détention...

Est-ce donc bien ainsi que ce régime espère survivre à la tourmente, dont les manifestations "Occupy" ne constituent que la partie émergée d'une contestation appelée à prendre toujours plus d'ampleur, dans la mesure où les raisons mêmes de son irruption sur la scène politique se font sentir d'une façon toujours plus pressante dans la population?

Dans un premier temps, on peut se demander comment cette tentative d'instauration d'une dictature va finir, face à une contestation dont, pour l'instant, on peut craindre que ni la maturité politique, ni la clarté des revendications, ni le consensus autour d'une vue d'ensemble, ne soient au même niveau que l'ampleur de la mobilisation.


Il semble donc qu'il soit particulièrement fécond de replacer cette situation inédite pour la future
ex-première puissance mondiale dans le cadre des luttes souvent souterraines pour l'instauration
d'une forme ou d'une autre de gouvernance mondiale efficace, un projet pour lequel, rappelons-le, les deux versions en concurrence sont le N.O.M. des Illuminatis occidentaux et le Nouveau Paradigme de Gouvernance Mondiale de l'alliance multipolaire.

Si le N.O.M. n'aura pas survécu aux événements de ces derniers mois, que j'ai détaillés par ailleurs, les raisons impérieuses poussant à la mise en place d'un tel système demeurent, en premier lieu du fait de la gravité et du caractère global des problèmes de la planète, ainsi que de la nécessité évidente d'instaurer un minimum de réciprocité et de partage des responsabilités et des efforts requis.


Dans ce contexte toujours d'actualité, l'une des difficultés prévisibles pour la mise en place d'un
tel système (ceci quelle que soit l'option retenue) est que cette transition implique nécessairement,
pour tout état, un renoncement total, irréversible, à l'exercice en mode unilatéral de sa souveraineté - un mode multipolaire se susbstituant à cette logique désormais obsolète.

En pratique, peu d'états disposent réellement de la capacité militaire, économique et financière de
dicter en tout égoïsme leur volonté au reste de la planète. Cependant, cela aura été jusqu'ici le cas
dans la politique internationale menée par les Etats-Unis d'Amérique. Chacun aura pu constater la
facilité apparemment offerte par le comportement d'état-voyou que ce pays aura su illustrer d'une
façon si accablante depuis plusieurs décennies, mais cela ne saurait durer éternellement.

Dans le cas des EUA, un tel comportement aura pu s'appuyer non seulement sur une perversion des acquis procurés par leur indépendance, en 1776 - il est si tentant d'oublier, dans les relations
internationales, le fameux "Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'il te fasse" - mais
aussi sur un ensemble de paradigmes culturels, tels que les aspirations de minorités religieuses
fort intolérantes, telles les Puritains, à être enfin maîtres chez eux. La logique qui sous-tend
un tel comportement est superficielle, et même totalement illusoire; le génocide des Amérindiens
nous le rappelle. Le mythe des grands espaces à conquérir, aux ressources non encore explorées et inépuisables, aura vécu. Il ne servirait à rien pour les Etats-Unis d'aujourd'hui de s'enfermer
dans un déni immature et pathologique d'autrui, dans l'impasse d'une logique d'égoïsme forcené.
Ce pays est déjà sur le point de payer très cher ses multiples erreurs criminelles en la matière.


En réalité, que l'administration Obama s'obstine dans ses carences, ses prétentions, ses errements et ses manquements les plus élémentaires, en ces moments critiques de l'histoire de ce pays, en prétendant bloquer par le simple fait du prince l'instauration d'une approche multipolaire, par pusillanimité, facilité et complaisance, ce n'est pas forcément si grave sur le moyen et le long terme. En effet, en agissant de la sorte, en s'enfonçant dans ses erreurs, elle persuade une majorité toujours plus grande de citoyens que le système étatique fédéral n'est absolument plus à la hauteur des tâches qui lui incombent, et en somme, qu'il est temps de passer à autre chose....

In fine, plus douce sera la transition....., Sauf si le N.O.M. Illuminati decide une totale fuite en avant, chose tout à fait possible, connaissant la crimininalite des acteurs KHAZARS en place.....à travers une guerre plus que regionale....qui risque fort bien de dégénérer, car ils la voudrons éclaire et foudroyante...., mais elle ne le sera certainement pas...., cette fois leurs calculs seront plus que néfastes....., ils seront catastrophiques pour tout le monde.!!!

Temporarily putting this aspect aside, one could also examine further the incredibly low efficiency per capita presently reached by most Zioconned Western armies, especially the USA's. It might be some pernicious effect of Clausewitz's ideas, bringing the strategists under their influence to only want to start a conflict when believing that they
possess a huge imbalance (supremacy) on the battlefield over the other side's armies, and so heavily relying on such a steamroller effect.

When examining a few recent conflicts, I came to believe that those Western armies were noticeably lagging behind in terms of fighters' willingness to fight if needed and endurance, compared to Russia's for instance, or Hezbollah in Lebanon....., except if they are madly contemplating the use of thermo-nuclear devices this time around....

I also find a very strong parallel in terms of attitude (frantic efforts made in order to reach and to keep a technological supremacy on the battlefield) between the present days' USA and the last couple of years in Nazi Germany. Think for instance about their projects of
200 ton "Maus" tanks, for which they didn't have either enough time and steel to build, nor enough fuel to run.

Even though it didn't quite enjoy all the advertising that it rightly deserved, even Aurora airplanes aren't invulnerable, as we could see recently (still wanting to know how the one over Vietnam was shot down). Maybe this is also a strong side effect of the (in)famous
Paperclip project over the gullible military-industrial complex in the USA?

I also think that the latter has been becoming terribly handicapped by both ordinary bribery and a soviet-style, bureaucratic inefficiency. Add to it the difficulties stemming from trying to use many widgets incorporating "exotic" technologies on a battlefield. I could go on.....